[ Sondage ] ML-GARRAND

Bon ben salut a tous je vous presente la premiere page de mon livre qui n'est pas la guerre des clans, j'ai nomme ML-GARRAND.

ML – GARRAND
Chapitre 1 : Premières Armes

Jean rentra du Bowling vers 9 heures. Il avait un long cigare dans la bouche. Il se réchauffa une Pizza de Luigi et s’assit sur le divan beige. Il avait une grande maison, bien rangée sauf la cave et le garage. Il vivait seul dans une rue peu connue de Bourgoin-Jallieu. Alors que l’homme de 25 ans alluma la télévision, les journalistes passaient un documentaire sur la guerre de 14-18. Jean vit alors la vieille arme de son arrière-grand-père, un ML–GARRAND,
Accroche au mur derrière la télé. Son grand-père aussi l’avait utilisée lors de la deuxième guerre mondiale. Il se leva et attrapa l’arme. Il l’inspecta. Un impact de balle enfonçait le canon. Jean souffla la poussière qui s’était accumulée sur l’arme, et il vit la marque luire : HellMaker. Il jeta un œil au chargeur, pointant le canon vers le bas, et appuya sur la détente. Mal lui en pris, car il y eu une explosion au moment ou il appuya. L’arme s’envola de ses mains, mais au lieu d’une balle, c’était un petit papier qui fut tiré. Intrigué, Jean déplia le bout de tissu et lut ce qui était écrit dessus : «WW1GM1».
« Qu’est-ce que c’est que ce code ? » s’étonna Jean. Puis il se souvint. Il se souvint d’une valise noire dans la cave, une valise à six molettes, avec des lettres et des chiffres. Jamais personne n’avait pu l’ouvrir dans la famille.
Il fonça dans les escaliers qui menaient a la cave, tomba un petit coup, se releva, et déboucha dans la pièce sombre. Lorsqu’il appuya sur l’interrupteur, un flash illumina la pièce et il vit la valise noire toute au fond de la cave, recouverte par des sacs de voyage à moitie pleins, et même un vieux piano qui ne marchait plus. Mais à peine fit-il un pas que la lampe grilla et il se retrouve dans le noir. Il bougonna de mécontentement et réfléchit. Une idée germa dans sa tête et il se dirigea vers l’endroit ou il avait vu le piano. Lorsqu’il mit ses mains sur quelque chose qui s’enfonça et fit un bruit horrible, il sourit dans le noir. Enfin il avait trouvé le piano. Il ouvrit le capot et fouilla dedans. Lorsqu’il ressortit la main, il tenait une lampe de poche. En fait, il se souvint de son 23eme anniversaire, ou ses petits cousins jouaient à cache-cache. La fille de six ans s’était cachée dans le piano avec une lampe de poche. Il l’alluma et observa la valise noire. Il commença à enlever les sacs.
Au bout d’une demi-heure, il souleva la valise noie et sortit de la cave. Là il l’ouvrit et en sortit un petit carnet en cuir maculé de sang. Jean laissa la valise sur place et remonta. Il s’assit sur le canapé et feuilleta le carnet, comme on feuillète un livre avant de l’acheter.

il est bien^^
c'est ca ta fameuse histoire de 30 pages^^? J'adore la guerre alors je pense que cette histoire va me plaire^^

effectivement mais le probleme c'est que j'ai 30 pages manuscrites alors il faut que je recopie tout a l'ordi ...

Et aussi j'ai acheter la guerre des clans 5, 6 , 7, 8 hier ! Je suis tro content !

Sur le carnet était présente une écriture fabuleuse. Les lettres étaient à la limite de la calligraphie. Sur quelques pages, des plantes séchées reposaient. Il s’arrêta sur un trèfle percé de deux balles. Quelques pages plus loin, un plan détaillait une attaque d’une base. Mais le plus impressionnant était a la fin du manuscrit, des lettres de sang :
« Du sang de notre dictateur, j’écris que j’ai vu des choses que je n’aurais pas du voir, durant ces 3 ans de guerre. Mais c’est grâce à moi que la terre ne fut pas détruite, par l’ambition terrible d’un homme fou, armée de milliers de soldats qui pensaient faire le bien de la France en tuant les peuples adverses. Mais maintenant que j’ai tué cet homme, je sais que la vie de mes enfants et petits-enfants sera paisible. Donc je leur dit de remercier ces soldats qui vous ont sauvés. C’est grâce a eux si vous vivez, et surtout grâce a moi. Mais vous devez cacher ce carnet, mes descendants, car le gouvernement veut effacer toute trace de cette fameuse Guerre Mondiale, un vrai déluge de honte pour les habitants Français. »

« Cacher ce carnet ? pensa Jean. Il est maboule, pépé ! Bon, ça me donne envie de le lire, ce journal de guerre... »


« JOUR 1

Malheur a moi, j’ai été enrôlé de force dans l’armée française. J’habitais à Lyon, mais je fus transféré à Paris dès que mon « accord » fut donné. Heureusement, tous les hommes de guerre ne sont pas des violents habitués à tuer : la plupart sont des gens comme moi. C’est ainsi que je me suis fait deux camarades de peines : Gérard, un français vétéran, et Kainoa, un émigré Hawaiien. Je fais partie de la troupe numéro dix-huit. Nous allons être entraines dans des combats très durs de face, mais aussi dans des missions « assassinat »… Dans notre troupe, nous pouvons trouver une vingtaine de vétérans. Paul, encore jeune de 25 ans, a pourtant fait six guerres déjà. Il est notre commandant. Il est blond et très classe. Si on ne me l’avait pas présente avant, j’aurais cru que le célèbre agent secret soit sorti des livres pour venir dans nos troupes. Nous sommes aussi une trentaine de « jeunots » selon les anciens. Le sous-chef, qui préféré être appelé lieutenant, s’appelle Arthur. Il a déjà son arme. Il en est très content, car il a reçut un sniper a balles empoisonnées.

Aujourd’hui, nous avons déjà fait notre premier entrainement. Nous avons du ramper sous des grillage pendant une heure. Paul est très sévère, mais c’est le meilleur soldat que je connaisse. Ensuite, nous avons combattus avec des sabres et des baillonnettes vides. Un chinois s’amusait avec son sabre quand il se l’est enfoncée dans les cotes. Tout le monde s’est moquée de lui, mais je le pris dans mes bras et l’amena a l’infirmerie. C’est alors que je fis la connaissance de l’infirmière, Lucie. Elle a le même âge que moi, et elle est assez charmante.
Enfin, elle m’a dit que le chinois survivrait et se remettrait vite de sa mésaventure. Elle me conseilla aussi de ne pas recommencer a ramener un soldat blesse a l’infirmerie. Je compris lorsque je sortis et que Paul me hurla que j’étais de corvée patates pour manque d’entrainement, et pitié. Mais il m’ordonna de finir l’entrainement. Je désamorçai donc une mine. Cinq d’entre nous sont déjà morts… ils ont coupée le mauvais fil de la mine. Paul nous fit comprendre que si nos ne l’écoutions pas, nous en serions puni. Alors que le silence se fit, l’un d’entre nous pouffa à cause de la blague de son voisin. Lorsque tout le monde se retourna, Paul avait déjà tue les deux indisciplinés.

Grace a des mannequins, Paul nous a expliques comment accrocher des corps afin de vider les chargeurs des adversaires. Après deux bonnes heures de musculation, j’étais épuisé. C’est alors qu’a huit heures du soir, le sous-chef nous convoqua. Il nous donna nos numéros. Je reçus le onze. Notre chef de troupe nous a dit qu’il n’y aurait certainement aucun combat avant une petite semaine. Des demain, nous devrons partir en direction de l’Allemagne.
La guerre… ou se terre-t-elle ? Elle et la mort sont de bonnes amies. J’espère qu’elle ne m’emportera as trop tôt… »

C’est alors que Jean explosa de rire. Bien sur, c’est à cause de Lucie : c’était son arrière-grand-mère ! Il s’était toujours demandé comment ils s’étaient rencontrés.
« Bon, allez, courage. Il faut que je lise la suite ! » Pensa-t-il avec un sourire niais aux lèvres.








« JOUR 10
(NA : Je réserve ces jours intermédiaires pour un plus grand ouvrage, si celui-ci est aimé par beaucoup de lecteurs.)

Pas grand-chose ne s’est passé durant ces dix derniers jours. Enfin, si. Quelque chose de très important même : la première attaque Allemande. A vrai dire, je dormais. C’était la nuit. Toute la troupe était réveillée sauf quelques bleus. Et maintenant je suis le dernier « vierge de sang » comme ils disent, de la compagnie. Personne n’as été tué, ni mêmes touché ! Pal semblait très content de nous. Enfin, de mes camarades. Il y a juste eu un petit problème : nous n’avions pas d’armes assignées. En gros, tout le monde a pioché dans le tas d’armes, et ca c’est finit en joyeux carnage. Apres le combat, nous avons donc reçut nos armes. Apres notre évaluation des capacités, chaque soldat semblait content de son arme. J’ai reçut les félicitations du lieutenant, Adrien, qui semble bien m’aimer. Il est assez gentil, mais lors d’un combat, il parait que son visage devient noir. On croit se tenir en face du diable lui-même. Il tire avec rage et ne manque jamais son coup. Une rumeur est vite passée dans le détachement dix-huit : ses mains ont tuées mille personnes avant cette guerre. Mais il ne vaut rien face à Paul quand il se bat. On dit que lors du combat, il a chargé dans les rangs allemands et s’est battu au corps a corps avec dix adversaire, et aucun n’en est ressortit vivant. Face à ces grands combattants, je me sens tout petit. Mais je reviens donc à mon arme : un fabuleux ML-GARRAND. C’est une arme d’espion, car mes mouvements sont furtifs, et je suis difficile à viser. Je ne sais pas comment Paul peut dire ca, vu qu’il ne m’as jamais visé. Enfin, j’espère… Kainoa a eut un UZ-I. C’est un automatique portable avec quatre cents charges ! Et enfin Gérard a reprit son BAZOOKA 3:3 de son ancienne guerre.

Et enfin, nos places dans la compagnie ont étés assignées. Je suis assassin, la plus importante. Pour l’être, il faut avoir une grande intelligence et aussi une dextérité en dessus de la moyenne. Gérard fut équipe d’un gilet pare-balles impénétrable, pour les soldats de front. Kainoa fait parti des trois « déblayeurs », ceux qui partent devant et font mal. Je crois avoir gagné un peu du respect de notre commandant, car il est de ce type de gens qui n’aiment que les personnes de hauts-rangs. Voila.

Et, au fait, Lucie a été désignée officiellement infirmière guérisseuse de notre groupe. Et aucun homme de ma compagnie ne la trouve spécialement attirante. Donc j’ai toutes mes chances ! Et l’autre jour, elle m’a même invitée à un diner avec elle. C’est demain. Je dois dire qu’elle m’a trouvé plutôt mignon avec mes yeux turquoise et mes cheveux en bouclettes. Et oui, ma particularité est d’avoir des yeux ni bleus, ni verts mais entre les deux. Et pour finir un petit briefing : nous étions cinquante-deux dans la troupe au départ. Nous ne sommes plus que quarante-quatre, a cause de la mine, des deux bavards et un autre qui a préféré se suicider plutôt que de tuer des hommes. On apprit plus tard qu’il était prêtre.

Je finis cette journée en me souhaitant bonne chance pour demain.